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mercredi 1 juin 2016

La Clusaz - Restaurant La Fruitière

Thomas, coach aventure et Stéphane
Entre sport et gastronomie ! Du sport le matin, du sport l'après-midi mais de la gastronomie le soir. Il nous faut des calories pour recharger les machines ! Au premier jour de notre arrivée à La Clusaz, sous une pluie battante, nous découvrons un restaurant qui nous inspire et sert encore à 21h00 : La Fruitière.

Restaurant La Fruitière
Avec une telle enseigne, nous espérons du fromage et des spécialités locales. Nous ne sommes pas déçus par les trois menus savoyards que nous choisissons, avec fondue aux trois fromages et crozets. Les plats sont généreux, même pour de jeunes sportifs. 

Bruschetta
Au deuxième soir de notre séjour, pas d'hésitation, nous retournons à la Fruitière avec la ferme intention de prendre moins de fromage mais nous craquons sur une bruschetta aux cinq fromages puis un burger classique, un burger La Clusaz, une escalope savoyarde... Le génépi nous est offert en fin de repas !  

Thomas et Stéphane revoient les bons moments de la journée 

Le dîner est aussi le moment de revoir les bons moments de la journée, ceux où l'on en a vraiment chié comme cette ascension du Col de Balme dans le brouillard, heureusement récompensée par une petite binch ! 

L'ascension du col de Balme : 




Raclette
Si vous avez regardé la vidéo jusqu'au bout, vous aurez compris qu'en ce troisième soir, c'est raclette... une raclette traditionnelle et généreuse, autant en fromage qu'en charcuterie ! Nous n'arriverons pas à finir !!!




Pas sérieux !
C'est notre dernier soir à La Clusaz (last but not least !), nous craquons sur un dessert, notamment une coupe colonel (!) et terminons par un alcool de poire ! Ce soir, c'est la bruschetta qui nous est offerte !

Vous l'avez compris, nous avons passé de bons moments à La Fruitière, un restaurant que je vous recommande !

mardi 31 mai 2016

La Clusaz - Ascension de La Balme

Steph et Thomas au sommet du télésiège de La Balme
C'est le deuxième jour du stage de préparation au Mont-Blanc, à La Clusaz. Après l'ascencion de l'Aiguille, la veille, le curseur est poussé plus haut avec un objectif à 2477 mètres d'altitude, le col de Balme.  

Stéphane et Thomas au départ
Plein soleil, il ne neige pas, ce matin ! Pour faciliter le départ, pas de marche d'approche mais un parking au fond de la vallée, vers le lac des Confins... Lunettes de soleil et crème solaire obligatoires.




Entre Balme et Lachat
Aujourd'hui, on voit le sommet et on se dit que ça va être plus facile qu'hier. Pas de neige, le long du téléski de l'Etrivaz mais elle arrive vite sur la piste bleue de La Balme et la piste rouge de Lachat. 

 

 

 
Sous le télésiège de La Balme

La pente est plus rude qu'il n'y paraît. Notre journaliste embarqué (embedded reporter) est prêt à abandonner. Nous le poussons à continuer jusqu'en haut du télésiège de Balme. Nous chaussons les raquettes.

 

Bronzage et alimentation au sommet du télésiège de La Balme
Un thé, une soupe, quelques fruits secs, une séance de bronzage, nous sommes au sommet du télésiège de La Balme, à près de 2000 mètres d'altitude. Tout va pour le mieux mais cela ne va pas continuer comme cela...







Sous le télésiège du Col de Balme
Ils descendent en ski ou en snowboard et se plaignent de la qualité de la neige, trop lourde, trop molle. Nous commençons l'ascension sous le télésiège du Col de Balme. C'est ardu, la pente est forte, la neige est lourde.

 

 

 
Entre brume et soleil 

Soleil au sommet, brume dans la vallée, l'aventure va vite tourner court. La visibilité se réduit à deux mètres à peine. Il n'est pas sérieux de poursuivre jusqu'au Col de Balme. Nous faisons demi-tour... après une petite bière !

 
Eric et Stéphane

La descente en raquettes n'est pas si simple... Douleur au genou pour Stéphane et Eric. Je pars en avant pour récupérer la voiture, je m'explose sur la piste rouge, je ne trouve pas mon chemin pour les rejoindre... mais ils marchent beaucoup mieux dès qu'il n'y a plus de neige...

A suivre...

lundi 30 mai 2016

La Clusaz - Ascension de l'Aiguille

Thomas - Coach aventure
Sur la route de Paris à La Clusaz, pas une seule minute de répit pour les essuie-glaces, c'est de la pluie en continu. Evidemment, au réveil, à l'aube, le lendemain, c'est de la neige qui tombe sur le village haut-savoyard. 

Le mur du Bossonnet

Thomas et Stéphane en haut du télésiège de Grenèche
Il est 8h10 lorsque l'ascension commence. Avec la neige qui recouvre le sol, impossible d'imaginer suivre des chemins balisés, les traces de peinture ne seraient pas visibles. Thomas décide donc de suivre les remontées mécaniques. Pour commencer, le télésiège de Grenèche en suivant le Mur du Bossonnet, une piste rouge.



Halte en haut du télésiège du Crêt du Merle
L'ascension se poursuit sous le télésiège du Crêt du Merle, par la piste du Merle, une piste bleue. La neige continue à tomber. Une pause au Bercail permet de s'hydrater et de faire le point sur la tenue. L'effort physique est intense, malgré le froid, on transpire, il faut enlever une couche et garder des effets secs.




Sous le télésiège du Crêt du Loup
Maintenant, sous le télésiège du Crêt du Loup, cela devient sérieux, la couche de neige s'épaissit, la pente se raidit. Une halte à mi-chemin pour se restaurer, de deux grosses tranches de saucisson, en haut du téléski du Louveteau et c'est parti pour le Mur d'Edgar, une piste noire !

En haut du télésiège du Crêt du Loup




L'Aiguille - 2257 m
L'ascension finale est rude, il y a plus d'un mètre de neige fraîche, on s'enfonce dans la poudreuse jusqu'en haut des cuisses, les bâtons de marche ne servent plus à rien, le brouillard tombe, on ne voit plus la fin du télésiège, c'est une épreuve tant physique que mentale... Enfin, le sommet : 2257 mètres d'altitude. 

Le plan des pistes de La Clusaz
Ce n'est qu'en rentrant au village vers 14h30 que nous en apprendrons l'altitude, 1040 mètres, et calculerons notre dénivelé de la journée : 1217 mètres de dénivelé positif, dans la neige et sous la neige... Pas mal pour un premier jour ! Pas mal pour une préparation au Mont-Blanc !