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mercredi 23 novembre 2016

Manger local avec Stan

Stan en Ardèche
En complément de l'article rédigé par Stan, coach aventure, concernant son alimentation responsable (http://sportaventureassociation.blogspot.fr/2016/11/lalimentation-responsable-de-stan.html), il est une autre recommandation à mettre en valeur : Manger local.

Manger local, c'est 
- une démarche de soutien aux petits producteurs situés à moins de 100 kilomètres de chez vous, 
- c'est une démarche environnementale grâce à la réduction des kilomètres parcourus par vos produits. 

Stan met en application cette démarche écoresponsable, lors de sa randonnée en Ardèche. Il déguste des kakis, fruits de l’automne, extrêmement concentrés en fibres et béta carotène, ramassés sur le chemin.

mardi 22 novembre 2016

L'alimentation responsable de Stan

Stan - Paris - Coach aventure, cuisine pour les autres !
Pour commencer cet article, je voudrais déjà me présenter un peu. J’ai 24 ans, je fais du sport depuis que je peux marcher, c’est plus qu’une passion c’est un mode de vie. C’est un développement du corps mais aussi de l’esprit et c’est dans le cadre de ces deux derniers que j’ai CHOISI de changer mon alimentation : une alimentation plus responsable pour la planète et pour moi, un respect de ce que l’on me donne et de ce que je suis. 

J’ai choisi de changer tout cela, rien ne m’a été imposé. Le savoir et le vivre est une force qu’à mon sens tous ceux qui font des régimes recherchent sans le chercher. Je l’ai vécu auparavant. Vouloir maigrir, sécher, prendre de la masse, ça se passe d’abord dans la tête. D’ailleurs tout se passe dans la tête. Le corps n’est qu’un outil de l’esprit, on est ce que l’on désire. Là je vous entends me dire « oui, mais moi je veux profondément perdre du poids, je fais tout ce que je peux mais j’y arrive pas ! ». 

Deux axes : il y a vouloir et vouloir si votre motivation est superficielle, fondée sur du paraitre et si elle se base sur le sol glissant de l’ego alors, à la première difficulté, l’éponge sera jetée et les mauvaises habitudes reviendront au galop. La facilité, c’est le confort, c’est le connu. 

Dans un premier temps, il faut être vrai avec soi, ne plus se mentir. Poser de réelles motivations, ses motivations pas celles que nous vend la société du paraître ou le regard des autres. Si on a un réel mal être, alors il faut le combattre avec les bonnes armes. Si l’on veut vraiment faire évoluer son soi alors il faut être prêt à modifier beaucoup de choses, tout perdre pour tout gagner. Il faudra de la patience, accepter les évènements et s’accepter.

La deuxième chose, il y a diète drastique et habitudes alimentaires. L’extrême n’est qu’une bombe à retardement, quelque chose de trop difficile, de trop stressant pour le corps et pour l’esprit. Quelque chose qu’inconsciemment on va rejeter en bloc donc finalement ne pas perdre autant de poids et de formes que l’on voudrait. Fatigue, irritabilité, nervosité, stress … Tout ça pour finalement exploser en plein vol, ou finir son programme extenué avec des résultats bien sur présent mais à quel prix ? On est tous maso à se faire du mal, pour se complaire dans un reflet qui nous plaît. Tellement paradoxal, tellement ancré dans les esprits des masses qu’il faut avoir mal pour réussir. Tous ces efforts pour finalement reprendre son rythme de vie avec son alimentation d’avant, regagner le poids perdu et recommencer dans 2 mois car le miroir, le jean va nous rappeler à l’ordre. Désolé du terme mais c’est grossier …

Pas de recette miracle, pas de facilité. Juste de la réflexion et les bons gestes : manger équilibré. Ce terme lancé à toutes les sauces, sauces que l’on doit d’ailleurs arrêter, car il ne faut pas manger ceci et cela. Jamais on ne nous explique pourquoi il ne faut pas faire ce genre de chose. Alors la plupart des gens n’en tient pas compte. Ils sont trop habitués à se voir ordonner les choses, qu’ils en ferment les écoutilles car simplement si c’est vendu pourquoi je devrais arrêter de le consommer. Point de vue largement défendable, l’ignorance est l’arme de destruction massive du XXIéme siècle. C’est le travail de chacun de s’informer du pourquoi et du comment.

Bref, une habitude, selon des études, met 21 jours pour trouver sa place, 21 jours difficiles puis le geste devient naturel. Cela est applicable dans notre alimentation, enlever un aliment, modifier sa façon de manger … tout est possible. Votre motivation viendra du « pourquoi je le fais », une réelle idéologie créant une inertie.

Pour en revenir à moi, j’ai arrêté ou limité largement dans la même année : la viande, tous les produits laitiers et les féculents.

Je fais du sport 5 à 6 fois par semaine, à raison de une à deux séances par jour. Les sports pratiqués : cross training, street workout, course à pied, escalade sur bloc, parkour, yoga.

Oui, j’arrive à faire tout cela en ayant une alimentation différente de celle qui nous a été inculquée depuis que l’on sait s’alimenter par nous-même. Je ne manque pas d’énergie pour construire en parallèle mes projets personnels, je ne manque pas d’énergie pour enchaîner mon travail et mes séances à raison parfois de 3 séances dans une même journée. Je peux me faire preuve vivante pour valider que mon alimentation me convient. Oui, plus de maux de ventre, de problèmes digestifs, de coups de barre, d’appétit démesuré. J’ai appris à écouter mon corps, il me parle et me guide afin que l’on soit satisfait tous les deux. « Notre corps est un temple, il faut le respecter » c’est un des piliers de ma réflexion sur la révolution de mon alimentation. Un autre a été de constater que je ne digérais pas certaines choses comme des milliers de gens j’étais rythmé par des maux de ventre, des gaz, des remontés acides…. Mon mal venait des laitages, je suis intolérant. Il m’a fallu 20 ans pour m’en rendre compte, le principal, aujourd’hui, est que je le sache. 

Le fameux coup de pompe après le repas constitué de féculents ? Envolé ! Le midi et le soir ils ont été bannis, je ne les garde que pour le matin car, pour le moment, je n’ai pas encore trouvé d’alternative viable, qui remplace mon plaisir de manger ma tartine de pain grillé avec de la purée d’amande complète et sa confiture d’abricot (bio bien sûr). 

Attention / !\ explications simplifiées. Les féculents sont une source d’énergie, de sucres lents et à partir de ce constat le sucre entraîne une montée d’insuline et donc un pic. Le corps demande alors une nouvelle source de sucre car il se sent fatigué, et a besoin de carburant et paf on mange sucreries ou glucides en tout genre. Le pic implique une redescente et oui comme en rando quand tu montes bah tu descends, donc fatigue. De plus les féculents sont difficiles à digérer, ce qui implique une énergie supplémentaire pour les digérer, plus il y en a plus il y a de travail. Le corps travaille sur toute la journée en gros sur 6h pour tout digérer. L’énergie utilisée ici n’est pas utilisée ailleurs …

Comment faire sans cette énergie ? Tout simplement le corps sait travailler sur le stock de graisse naturellement présent dans notre corps. De ce fait, il va piocher directement dans cette énergie longue durée avec parcimonie pour nous animer tout au long de la journée. C’est comme une torche à la graisse de phoque qui dure des heures, alors que si l’on jette de l’essence sur un bâton, ça va vite brûler, être fulgurant mais cela s’atténuera vite. De ce fait, je me nourris avec moins de féculents mais avec de bons lipides, carburants longue durée. Ils vont contribuer au bon fonctionnement de mon tube digestif et me donner la pêche toute la journée sans m’encombrer.

Cela marche sur moi, je ne demande à personne de faire comme moi. Ceux qui veulent essayer, je vous invite vivement à le faire.

La viande, dans ma vie, a été largement remplacée par le tofu, les œufs et le poisson. Les alternatives, aujourd’hui, sont facilement trouvables. Le goût est là, le tofu préparé existe, mes mains aussi donc faire la cuisine est possible. Les excuses se trouvent aussi facilement que les solutions, tout réside dans une motivation, des convictions dans mon cas. Au-delà des papilles de gustatives, de mon confort et de ma « passion » pour la cuisine (je sais faire des pâtes … pour les autres), un autre vecteur celui de l’argent dépensé : oui, le bio coute cher si vous gardez votre alimentation actuelle ça ne sera qu’un frais en plus. Dans mon cas, le tofu ne coûte pas plus cher que vos portions de viande, j’ai réduit les quantités pour la qualité. Je ne crois pas que la santé n’ait de prix. Tout cela se passe dans mon cœur et dans mon esprit, je ne peux plus engloutir de la viande en connaissant la condition de vie de nos amis les animaux. La surconsommation nous a amené à ne plus être humain, on se comporte comme des robots sans émotion. Plus personne ne se rend compte que le steak qu’il a dans l’assiette était avant cet état, un être vivant … Je vous donne une minute dans un abattoir. Ensuite pour plus de rendement l’industrie ne se gêne pas pour donner des hormones ou autres saletés pour nourrir les bêtes, ce qui se retrouve forcément dans les viandes que l’on mange. Rappelez-vous, on est ce que l’on mange … C’est à moitié vrai car si vous l’étiez vraiment vous auriez plus de sensibilité.
La surconsommation et le nombre croissant de consommateurs nous amènent à réaliser que l’on ne pourra pas continuer ce train de vie indéfiniment. Alors, avec ce mouvement, je me place comme des milliers de personnes, précurseur à une alternative plus éco responsable. Il faut savoir que 70% de l’agriculture est destinée à nourrir le bétail …

Cela s’applique aussi au poisson que je mange réellement avec parcimonie, il faut encore manger un peu de tout. La surpêche tue nos océans, la faune et la flore souffrent et nous nous intoxiquons à manger des aliments qui nous rendent malades.

Je ne fais ce constat que pour vous démontrer que l’arrêt de viande n’est pas qu’une simple envie pour faire bien en société. C’est une idéologie.

Tous mes changements alimentaires ont été motivés par des réalités qui sont miennes. Tout me paraît tellement naturel que je le fais sans réfléchir. J’ai choisi de vivre comme cela, c’est un choix et non une obligation. Je ne lutte donc pas contre moi-même, voilà une grosse clé.

Une autre clé, c’est le plaisir, l’alimentation est vitale. Cela ne doit pas nous être néfaste, ni être source de stress ou de tristesse. L’on a pour devoir de trouver notre équilibre, il n’y a pas de trame parfaite et universelle, chacun est différent, chacun réagira différemment. Nous sommes les seuls acteurs, de notre bien-être et de celui de la planète. Un flocon de neige formera une avalanche.

Prenez plaisir, découvrez, ne vous limitez pas, faites des écarts, ne vous punissez pas, vivez pleinement, croquez la vie à pleines dents dans le respect de votre corps et de la planète... vous n’êtes que de passage. 


Pour contacter Stan : contact.sport.aventure@gmail.com

mercredi 16 novembre 2016

L'Alpin - La Clusaz

Péla des Aravis
Le restaurant l'Alpin dans le haut du village de La Clusaz nous accueille pour nous faire découvrir ses spécialités savoyardes et sa cuisine à base de produits locaux. L'établissement est situé en  haut du village, quasiment en face du Bossonnet, point de départ d'une randonnée mémorable jusqu'au sommet de l'Aiguille !

Après le blanc pétillant à la mûre, c'est parti pour un menu savoyard avec une péla des Aravis. La péla, c'est, un plat de pommes de terre, en général non épluchées, coupées en cubes, rissolées à l'huile, auxquelles on ajoute des oignons et du fromage, puis qu'on place dans une poêle à long manche. La péla se différencie de la tartiflette par la préparation des pommes de terre (cuites à l'eau et coupées en rondelles pour cette dernière), par l'absence de lardons, et par le fait que traditionnellement, les pommes de terre sont cuites avec leur peau.

Tarte aux myrtilles
Le repas est accompagné d'une roussette de Savoie, vin blanc tranquille, sec, gras, aux arômes de miel et d'amande, et à la robe jaune clair. Il se termine par une tarte aux myrtilles et un café.

Même avec une marche digestive vers les Confins, ce séjour express à La Clusaz ne sera pas estampillé Perte de Poids !

L'article précédent sur le séjour de novembre à La Clusaz :
- La Clusaz sous son manteau blanc

La Clusaz sous son manteau blanc

La Pointe de Merdassier depuis La Clusaz
A la sortie du tunnel de l'Epine, voici au loin, au-dessus de Chambéry, les premières neiges sur les sommets. Virage au nord en direction d'Annecy, sous un soleil radieux, puis à l'est vers le massif des Aravis. Le premier champ enneigé, au bord de la route, c'est à Thônes. Commence alors la montée vers La Clusaz et la couche s'épaissit.  

Le massif de L'Aiguille depuis la route des Confins
En ce début novembre, la neige a redonné vie à la station, les parkings sont pleins, les terrasses des restaurants accueillent les gourmands et, même si les remontées mécaniques ne fonctionnent pas encore, les premiers skieurs dévalent les pistes !  

Le col de Balme
Le décor est magnifique. C'est toujours un plaisir de revenir à La Clusaz, même pour quelques heures... une très bonne virée !

jeudi 10 novembre 2016

Randonnée mémorable dans les gorges de l'Ardèche

L'Ardèche
Nous vous le promettions récemment et nous tenons toujours nos promesses, voici les premières photos du week-end aventure en Ardèche, avec une randonnée mémorable dans les gorges de l'Ardèche.

Communion avec la terre
En communion avec la terre, plus d'artifice, plus de faux semblant, seulement la réalité, celle de la vie, Stan, coach aventure, et Benjamin se fraient un passage entre la falaise et la rivière...

Pour contacter Stan : contact.sport.aventure@gmail.com

mardi 1 novembre 2016

Week-end aventure en Ardèche

La Pont d'Arc
Le week-end aventure qui démarre prochainement en Ardèche, animé par Stan, coach aventure, promet d'être aussi surprenant que le Pont d'Arc enjambant la rivière. Le programme reste pour l'instant secret mais Stan et Benjamin nous promettent de belles photos !

A suivre...

Pour contacter Stan : contact.sport.aventure@gmail.com